Généralités |
|
2 éme.RPIMa |
|
Madagascar |
|
Formulaires |
|
Bibliographies |
|
Recherche |
|
|
 |
|
|
|
 |
|
 |
Bienvenue
au 2 ème. RPIMa |
 |
|
|
|
|
|
Lundi 07 Juillet 2025
|
 |
|
|
|
Chants
de marches et de caserne ... Ce
qu'est un para |
En cliquant sur l'icône , vous entendrez le
morceau sélectionné ....
|
|
La
Prière du para |
Hymne
à Saint Michel |
je m'adresse à
vous, Mon Dieu,
Car vous donnez
Ce qu'on ne peut obtenir que de soi.
Donnez-moi, Mon Dieu,
ce qui vous reste
Donnez-moi, ce qu'on ne vous demande jamais.
Je ne vous demande pas le repos,
Ni la tranquillité,
Ni celle de l'âme, ni celle du corps.
Je ne vous demande pas la richesse,
Ni le succès, ni même la santé.
Tout ça, Mon Dieu,
on vous le demande tellement
Que vous ne devez plus en avoir.
Donnez-moi, Mon Dieu,
ce qui vous reste
Donnez-moi, ce que l'on vous refuse.
Je veux l'insécurité et l'inquiétude
Je veux la tourmente et la bagarre,
Et que vous me les donniez,
Mon Dieu, définitivement.
Que je sois sûr de les avoir toujours,
Car je n'aurai pas toujours le courage
De vous le demander.
Donnez-moi, Mon Dieu,
ce qui vous reste.
Donnez-moi ce dont les autres
ne veulent pas.
Mais donnez-moi le courage
Et la force et la Foi.
|
O
MICHEL, patron des paras
Ô Saint
MICHEL, patron des paras
Trempe nos coeurs de hardiesse
Conduis
nos pas joyeux
Pour
le devoir tout près de dieu
Guide
nous dans les dur sentiers
Et
garde nous de nos détresses
O
MICHEL, patron des paras
Trempe
nos coeurs de hardiesse.
O
MICHEL, Ange chevalier
Lave
nos coeurs dans l'onde pure
Fais
nous loyaux et droits
Et
valeureux en tes tournois
Pour
servir fais nous être prêts
Et
défends nous de tout parjure, O MICHEL,
Ange chevalier
Lave
nos coeurs dans l'onde pure.
O
MICHEL, Ange des guerriers
Arme
nos coeurs de sainte audace
Ta
main vengea les cieux
Arrache
nous aux camps peureux
Laisse
nous résolus et fiers
Sangle
nos chairs dans les cuirasses
O
MICHEL, Ange des guerriers
Arme
nos coeurs de sainte audace.
|
 |
 |
|
|
Souvenirs
qui passent |
Les
Lansquenets |
Souvenir
qui passe, la vieille caserne oubliée.
Souvenirs
qui passent
La vieille caserne oubliée
Le
camp la remplace,
avec ses feux à la veillée.
Dans
la brume grise,
la sentinelle demeure,
Oui,
oui, oui, la sentinelle demeure.
Amis
il faut que nous marchions,
Plus
loin, toujours plus loin.
Le
soleil dore les moissons,
Bercées
par le vent de juin,
le vent de juin.
En
avant serrons les rangs, que retentisse ce
chant.
Oui
! un chant de guerre et de victoire, qui
monte dans le soir...
Avançons
sans répit, dans le vent,
sous la pluie.
Les
chansons sur les lèvres,
calment la fièvre.
Si
le sac est trop lourd,
Si
les membres sont gourds,
Serrons
les rangs, soldats,
et à dieu va !
Va
chez les paras.
Après
la bataille inhumaine,
vient un long repos.
Secoue
ta peine, pavillon haut,
pavillon haut.
|
Ce monde vétuste et sans joie,
Faïlala.
Croulera demain devant notre foi, Faïlala
Et nos marches guerrières
Feront frémir la terre
Au rythme des hauts tambours
des lansquenets
(3 derniers en bis)
Que nous font insultes et horions, Faïlala
Un jour viendra où les traîtres
paieront,
Faïlala
Qu'ils freinent donc s'ils l'osent
Notre ascension grandiose
Que rythment les hauts tambours
des lansquenets
(3 derniers en bis)
Nous luttons pour notre idéal,
Faïlala
Pour un ordre nouveau et national, Faïlala
Et à l'heure dernière
Nous quitterons la terre
Au rythme des hauts tambours
des lansquenets
(3 derniers en bis)
Un jour nous irons au combat,
Faïlala
La croix celtique guidera nos pas, Faïlala
Que crèvent le marxiste
et le capitaliste,
Au rythme des hauts tambours
des lansquenets
(3 derniers en bis)
|
 |
 |
|
|
Debout
les Paras |
Les
Oies Sauvages |
Debout,
les paras,
il est temps d' s'en aller,
Sur la route au pas cadencé.
Debout les paras,
il est temps de sauter,
Sur notre Patrie bien aimée.
Dans les prés, dans les champs,
Les pépins dans le vent,
La mitraille accompagnera nos chants.
Parachutiste,
voit le ciel est clair
Serre les dents, il est temps de sauter.
Le stick est prêt, le stick est prêt,
Tout le monde ira, tout le monde ira.
Pas un ne se, pas un ne se, dégonflera.
Parachutiste, voit le ciel est clair,
Serre les dents, il est temps de sauter.
Pour venir
avec nous, pas besoin d'être gros,
Il suffit d'avoir du culot.
Pour venir avec nous, pas besoin d'être
grand,
Il suffit d'avoir un peu de cran.
C'est trop dur vous direz,
C'est trop fort vous penserez,
Allons donc un peu de bonne volonté.
Allons, les
copains, avec tout le barda,
Dans l'avion qui mène au combat.
Surtout les copains, n'oubliez pas le pépin,
Car la haut y a pas de magasin.
Mais ne vous en faites pas,
Même s'il ne s'ouvre pas,
On se retrouvera
quand même tous en bas.
|
Les oies sauvages vers le Nord,
Leurs cris dans la nuit montent,
Gare
au voyage car la mort,
Nous
guette par le monde,
Gare
au voyage car la mort,
Nous
guette par le monde.
Au
bout de la nuit qui descend,
Voyage
grise escadre,
L'orage
gronde et l'on entend,
La
rumeur des batailles,
L'orage
gronde et l'on entend,
La
rumeur des batailles.
En
avant vole grise armée,
et
cingle aux mers lointaines,
Tu
reviendras, mais nous qui sait,
Ou
le destin nous mène,
Tu
reviendras, mais nous qui sait,
Ou
le destin nous mène.
Comme
toi toujours nous allons,
Grise
armée dans la guerre,
Murmure
nous si nous tombons,
La
dernière prière,
Murmure
nous si nous tombons,
La
dernière prière.
|
 |
 |
|
|
Loins
de chez Nous |
Le
Vin Gaulois |
Ce chant funèbre a été
créé en Algérie et est devenu un
classique du répertoire du soldat.
Loin de chez
nous, en Afrique, combattait le bataillon,
Pour refaire, à la Patrie, sa splendeur, sa
gloire et son renom.
(bis)
La bataille faisait rage, lorsque l'un de
nous tomba.
Et mon meilleur camarade, gisait là blessé
auprès de moi
(bis)
Et ses lèvres murmurèrent, si tu retournes
au pays,
A la maison de ma mère, parle-lui, dis-lui
à mots très doux
(bis)
Dis-lui qu'un soir, en Afrique, je suis
parti pour toujours.
Dis-lui qu'elle me pardonne, car nous nous
retrouverons un jour.
(bis)
|
Vive le vieux vin de vigne,
le vieux vin gaulois!
R/ Tan tan terre et ciel
chene feu rouge et soleil
tan tan glaive clair
flot de sang vermeil.
Mieux
que bière ou vin de pomme
mieux vaut vin gaulois!
C’est
le sang gaulois qui coule
c’est le sang gaulois!
C’est
le glaive bleu qui frappe
c’est le glaive roi!
Sang
et vin mêlés ruissellent
sang et vin gaulois!
Glaive maître
des batailles
glaive honneur à toi!
Qu’au soleil
le fer flamboie
comme l’arc en ciel!
|
 |
 |
|
|
Dans
la Brume et la Rocaille |
|
Dans
la brume et la rocaille
Dans la brume et la rocaille
Para marche au combat
Loin
de chez ta bien-aimée
Loin
de chez ta bien-aimée
Para
tu souffriras
Para
tu souffriras.
Tu
lutteras pour la France
Et
pour sa délivrance
Tu
tomberas un beau matin
Tu
tomberas un beau matin
Sur
l'un de ses chemins
Sur
l'un de ses chemins.
Loin
de tous ces chacals
Sans
honneur et sans nation
Tu
garderas ton idéal
Tu
garderas ton idéal
Et
toutes nos traditions
Et
toutes nos traditions.
Ancien,
toi qui repose
Regarde
et souviens-toi
Nous
sommes toujours, je suppose
Nous
sommes toujours, je suppose
Le
creuset des paras
Le
creuset des paras.
La
peur et la couardise
N'existent
pas sous nos cieux
Que
le mot de parachutiste
Que
le mot de parachutiste
Semble
doux à nos yeux
Semblent
doux à nos yeux.
Sous
les balles et la mitraille
Au
fracas des combats
Ils
gagnent toutes leurs batailles
Ils
gagnent toutes leurs batailles
C'est
la loi des paras
C'est
la loi des paras.
Loin
des tiens, loin des villes
Souvent
tu partiras
Loin
de ta tendre amie
Loin
de ta tendre amie
Toujours
tu lutteras
Toujours
tu lutteras.
Sur
la croix de ta tombe
Un
copain écrira
Qu'en
parcourant le monde
Qu'en
parcourant le monde
Tu
est mort en soldat
Tu
est mort en soldat
|
|
 |
|
|
|
Le
Wagon de Pines |
Le
Grenadier des Flandres |
C'était un wagon de pines
Qui revenait d'Indochine,
Y en avait des longues, des fines,
Qui pendaient par la portière.
Tiens voilà la
Coloniale
Tiens voilà les coloniaux !
Yen avait des longues, des fines,
Qui pendaient par la portière,
Une bonne dame de charité
En prit 3 douzaines de paires.
Les posa sur la cheminée
Pour s'les carrer dans le derrière.
Tiens voilà la
Coloniale
Tiens voilà les coloniaux !
La p'tite bonne qu'avait tout vu,
S'en est servi la première.
Ell' s'en est si bien foutu,
Qu'ell' s'est pétée la charnière.
Et du nombril jusqu'au c...
Ce n'est plus qu'une vaste ornière.
Tiens voilà la
Coloniale
Tiens voilà les coloniaux !
Les morpions nagent dedans,
Comme poissons en rivière.
Tu crois la prendre par-devant,
Va t' fair' f... c'est par derrière.
Tu veux lui faire un enfant.
Tout le foutre tombe par terre
Et tu dis en l'écrasant
D'un mouvement de colère,
Et tu dis en l'écrasant
D'un mouvement de colère,
Non tu ne connaîtras pas
Le foutu con de ta mère.
Non tu ne connaîtras pas
Le foutu con de ta mère
Tu ne feras pas non plus
Un militaire de carrière.
|
C'était un
grenadier
Qui revenait de Flandres,
L'était si mal vêtu
Qu'on lui voyait le membre.
REFRAIN
Tambours battez la générale
Tambours, battez toujours
La nuit comme le jour,
La générale bat,
Ne l'entendez-vous pas ?
Le membre était gelé,
On était en décembre.
Une dame de charité
L'fit monter dans sa chambre.
Elle alluma du feu
Pour réchauffer ce membre.
Quand le membre fut chaud
Il se mit à s'étendre
Aussi long que le bras,
Aussi long que la jambe.
Dis-moi beau grenadier
A quoi te sert ce membre ?
Il me sert à pisser
Quand l'envie vient m'en prendre
Et aussi à baiser
Quand l'occasion s'présente.
S'il te sert à baiser
Fous-le moi dans le ventre.
Oh non, oh non Madame,
J'aurais peur de vous fendre.
Fendu ou non fendu
Il faut que tout y rentre,
Et s'il en reste encore
S'ra pour la servante
S'il n'en reste pas du tout,
Elle se brossera le ventre
Et ira dire partout :
Madame est une gourmande.
N. B.
Se chante par groupe de deux phrases.
La 1ère phrase est chantée par, le meneur
et reprise par le chœur ;
La 2ème
phrase par le seul meneur
Le refrain par tous ;
La 2ème
phrase d'un couplet devient la 1.ère phrase
du couplet suivant.
|
 |
 |
|
|
Les
Africains |
Fanchon |
Les
paroles datent de 1915 et la musique de
1943. Ce chant, dédié au colonel Van Ecke
(commandant du 7ème chasseurs d'Afrique),
est désormais celui des anciens d'Afrique
du Nord.
Nous étions
au fond de l'Afrique, gardiens jaloux de nos
couleurs.
Quand sous un soleil magnifique,
retentissait ce cri vainqueur :
En avant, en avant, en avant !
C'est nous les africains qui arrivons de
loin,
Venant des colonies pour sauver la Patrie.
Nous avons tout quitté, parents, gourbis,
foyer.
Et nous gardons au coeur une invincible
ardeur,
Car nous voulons porter haut et fier, le
beau drapeau de notre France entière.
Et si quelq'un venait à y toucher,
nous serions là
pour mourir à ses pieds.
Battez tambour,
à nos amours,
pour le pays,
pour la Patrie,
Mourir au loin, c'est nous les africains.
Pour le salut de notre Empire,
nous combattons tous les vautours.
La faim, la mort nous font sourire, quand
nous luttons pour nos amours.
En avant, en avant, en avant !
De
tous les horizons de France, groupés sur le sol
africain
Nous venons pour la délivrance qui, par nous se
fera demain.
En avant, en avant, en avant !
Et lorsque finira la guerre, nous reviendrons à nos
gourbis
Le coeur joyeux et l'âme fière d'avoir libéré le
pays
En criant, en chantant, en avant...
|
Amis, il faut faire une pause
J'aperçois l'ombre d'un bouchon
Buvons à l'aimable Fanchon
Chantons pour elle quelque chose
Refrain
Ah ! c'que son entretien est doux
Qu'elle a de mérites et de gloire
Elle aime à rire, elle aime à boire
Elle aime à chanter comme nous
(ter)
Oui comme nous
(ter)
Fanchon,
quoique bonne chrétienne
Fut baptisée avec du vin
Un bourguignon fut son parrain
Une bretonne sa marraine Fanchon préfère
la grillade
A d'autres mets plus délicats
Son teint prend un nouvel éclat
Quand on lui verse une rasade
Fanchon
ne se montre cruelle
Que lorsqu'on lui parle d'amour
Mais moi si je lui fait la cour
C'est pour m'enivrer avec elle
Un
jour le voisin La Grenade
Lui mit la main dans son corset
Elle riposte d'un soufflet
Sur le museau du camarade |
 |
 |
|
|
DEFINITION
Le para ne porte pas de béret
rouge...
il arbore un béret amarante.
Le para ne dort pas...
il récupère.
Le para ne mange pas...
il restaure ses forces.
Le para ne boit pas...
il se désaltère.
Le para n'avance pas...
il progresse.
Le para ne monte pas à l'assaut...
il bondit.
Le para ne fuit pas...
il se replie en combattant.
Le para ne se planque pas...
il manoeuvre.
Le para ne s'abrite pas...
il se camoufle.
Le para ne rampe pas...
il utilise le terrain.
Le para ne tire pas...
il rafale.
Le para ne drague pas...
il ratisse.
Le para ne conte pas fleurette...
il évoque ses campagnes.
Le para ne baise pas...
il saute.
Le para ne saute pas...
il passe la portière.
Le para ne saute pas au combat...
il plonge dans la mêlée.
Le para n'a jamais peur...
même s'il lui arrive de baliser parfois.
Le para n'a pas d'opinion...
il n'a que des certitudes ( qu'il
est le meilleur par exemple).
Le para ne méprise personne...
il lui arrive d'admettre qu'il puisse exister
d'autres bataillons paras que le sien.
Le para ne joue pas des coudes...
il roule les mécaniques.
Le para n'est pas immodeste...
il a tout simplement conscience de sa valeur.
Le para n'est pas un héros...
il est para, ce qui ne veut pas dire la
même chose.
Le para n'a jamais de rhume de cerveau...
il a des crampes aux mollets.
Le para ne meurt pas...
il exécute son ultime saut.
Le para ne va pas au ciel...
il y retourne.
Et d'ailleurs, un para est un para...
et réciproquement
<-
Haut
de page ->
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Vous disposez d'un droit d'accès,
de modification, de rectification et de suppression des données
qui vous concernent
(art. 34 de la loi 'Informatique
et Libertés')
|
|
|
|
|